quinta-feira, 7 de julho de 2016

Le flâneur des villes...

Ó Pedro Cuiça (Paris, 2015)

Le flâneur des villes... ou o fado vadio?

Andar em Paris – a Cidade Luz – conta com uma tradição (con)firmada e é alvo de elogio em diversa bibliografia. Andar em Lisboa – a Cidade da Luz Boa – é algo que tem vindo a despertar um notório interesse: um mundo para vadiar, para andar por aqui e por ali, ao deus-dará...

«La flânerie suppose ces concentrations urbaines qui se développent au XXe siècle, des concentrations telles qu’on peut marcher des heures durant sans voir un morceau de campagne. En marchant ainsi dans ces nouvelles mégapoles (Berlin, Londres, Paris), on traverse plusiers quartiers, qui constituent des mondes différents, à part, séparés. Tout peut changer d’un arrondissement à l’autre: la taille des maisons, l’architecture générale, l’ambiance, l’air qu’on respire, la manière de vivre, la lumière, les types sociaux. Le flâneur suppose ce moment où la ville pris des proportions telles qu’elle devient paysage. On peut la parcourir comme on ferait d’une montagne, avec ses passages de col, ses renversements de perspectives, ses dangers aussi et ses surprises. Elle est devenue une forêt, une jungle.»
Frédéric Gros (2009): Marcher, une philosophie

Ó Pedro Cuiça (Lisboa, 7/07/2016)

Sem comentários:

Enviar um comentário